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QUI SUIS-JE VRAIMENT ?

Toulouse, le 17 novembre 2016.

Je suis la seule Française de souche dans le métro A en direction de Basso Cambo.
Autour de moi, je vois : une africaine en boubou avec un bébé dans le dos, deux femmes voilées en train d’écouter de la musique, un blédard qui me regarde avec insistance et un peu plus loin, un groupe de 5 racailles avec les pieds sur les sièges parlant fort.

‍Ce jour-là, cette scène me fait réaliser avec violence que le peuple auquel j’appartiens devient actuellement minoritaire sur sa propre terre.
Je n’ai que 2 choix :
1. Ne rien faire, accepter la soumission progressive et faire grandir mes futurs enfants dans une France islamisée et arabisée, où mes filles devront porter le voile et où mes fils seront réduits à l’état de dhimmi.

2. Relever la tête et agir, à mon échelle et sans penser que je changerai le monde, mais en contribuant pour protéger mon pays et pouvoir ainsi répondre quelque chose à mes enfants lorsqu’ils me demanderont “Et toi, qu’as-tu fait pour éviter que la France disparaisse ?”
Je ressens aussitôt profondément que je dois AGIR pour éviter cette catastrophe civilisationnelle aux conséquences incalculables.
Cette prise de conscience n’est pas arrivée par hasard. Depuis quelques mois, je suis étudiante en licence d’anglais à la fac du Mirail, un des PIRES quartiers de ma ville. Chaque jour, je dois faire attention :
  • à la manière dont je m’habille
  • à l’heure où je quitte la fac
  • à ne pas partir ou arriver seule
  • parfois, je dois carrément baisser les yeux quand on me siffle ou m’insulte
  • et je n’évoque même pas la peur des agressions quand on entend chaque jour de nouveaux récits d’étudiants qui se sont fait tabasser par des racailles à proximité des transports.
Et encore, ce que je vous décris, c’est à l’extérieur de la fac… 

À l’intérieur, nous avons encore d’autres ennemis. 

À commencer par l’UNEF, ce syndicat étudiant d’extrême gauche allié des islamistes. Truquage des élections, pression sur les étudiants, soupçons de détournement de fonds, collusion avec la direction de la fac gangrenée par le gauchisme, intimidation des élèves en désaccord avec leur orientation idéologique…

J’ai le sentiment d’être prise en étau, j’étouffe. Je ne connais personne qui partage mes idées et je n’appartiens à aucun groupe qui me donne l’impression d’être protégée. Je suis seule au monde.

Pourtant… attachée à mon pays, je n’ai jamais réussi à me résoudre à baisser les bras. Accepter, “être tolérant”, se soumettre ? 
HORS DE QUESTION !
Mais que faire, seule ? Pas grand chose… Je dois l’admettre, je me sentais un peu perdue.

Et puis un soir, tout a basculé.
LA NAISSANCE.
Je suis invitée à une soirée d’amis et là-bas, je rencontre quelques militants de Génération Identitaire. 

Nous échangeons nos points de vue sur l’actualité, la situation du pays, la vie politique en général… ils me parlent de leur mouvement, de son histoire, de leurs actions, de leurs codes et… c’est un coup de foudre. 

Cela correspond exactement à ce que je recherchais. Je m’engage aussitôt à leurs côtés et deviens rapidement une militante très investie.
Néanmoins, je ne devinais pas que ma vie allait bientôt connaître un bouleversement radical.

Avec la mort de Georges Floyd le 25 mai 2020, la vague Black Lives Matter déferle dans le monde entier. 

Partout, dans la presse, dans les média, la publicité, le sport, chez les influenceurs, on ne parle que de “racisme systémique” et les blancs sont sommés de mettre le genou à terre.

À Génération Identitaire, nous rêvons d’une action pour montrer qu’il existe des Français qui ne se soumettront jamais. 

Nous attendons le bon moment. Mais celui-ci tarde à arriver…

Jusqu’au 13 juin 2020. Ce jour-là, le Comité Adama a prévu sa grande manifestation à Paris, Place de la République. 

Nous sommes au pic de la propagande mondiale, tous les média seront présents. Des dizaines de milliers de manifestants de toute la France sont attendus.

De notre côté, nous avons repéré un toit accessible sur un des bâtiments de la Place. 

Le jour J, nous y venons en avance, avec une immense banderole où est inscrit le message suivant : “Justice pour les victimes du racisme anti-blanc”. 

Nous attendons simplement la première prise de parole d’Assa Traoré pour la déployer…

C’est parti !
Face à 20 000 manifestants déchaînés, nous affichons notre message.
Les insultes pleuvent, comme les projectiles. 

Nous sommes même visés par des tirs de mortiers ! 

Plus tard, ce seront carrément des antifas qui viendront physiquement nous attaquer sur le toit, heureusement repoussés par mes camarades.
De mon côté, je réalise une vidéo pour expliquer notre action. Celle-ci devient aussitôt virale et comptabilisera des milliers de partages qui se transformeront en millions de vues.
Ma vie ne sera plus jamais la même ensuite.
CROISSANCE.
J’accède ainsi à une notoriété totalement inattendue mais qui démontre que des millions de Français soutiennent nos idées. 

Je suis invitée dans tous les média, ma boîte mail déborde de sollicitations, on me reconnaît dans la rue. 

Cela décuple ma détermination pour continuer le combat.

Une émission de très grande écoute me permet de propulser nos idées à un niveau encore supérieur lorsque je suis invitée sur le plateau de Cyril Hanouna sur C8.

Pendant 2 heures, quasiment seule contre tous, j'affronte pied à pied mes contradicteurs gauchistes, réalisant un record d’audience avec plus de 800 000 téléspectateurs.
À ce moment-là, les adhésions à Génération Identitaire explosent, des nouveaux militants arrivent dans toutes les sections, nos soutiens politiques sont de plus en plus nombreux et nous sommes en pleine vague ascendante.

Tout va bien. Trop bien.
DOUTES.
Que vais-je devenir ?

Comment continuer le combat ?

Je ne pouvais pas rester sans rien faire.
  1. Lancer mon propre mouvement ? Je ne m’en sentais pas les épaules et les risques judiciaires de reconstitution de ligue dissoute auraient été trop importants.
  2. Rejoindre un autre mouvement ? Je ne voyais pas réellement lequel. Après GI, tout paraissait fade.
  3. Rentrer dans un parti politique ? Je ne me voyais pas abdiquer ma liberté de parole et cet univers m'apparaissait comme assez glauque, avec tous ces coups tordus et ces bassesses.
J’ai pensé à toutes ces options et d’autres pendant un long moment.
CHUTE.
Nous allons être victimes de notre succès. 

Malgré une répression acharnée contre notre organisation (comptes bancaires fermés, fermeture de nos locaux, procès à répétition, garde à vue, condamnation à de la prison ferme, amendes, licenciements de nos militants), nous avons continué de grandir et d’attirer à nous toute une partie de la jeunesse de notre pays. 

Le gouvernement ne le supporte plus.

Il ne reste plus qu’un seul moyen de nous réduire à jamais au silence.

Le 14 février 2021, Gérald Darmanin, le Ministre de l’Intérieur, annonce qu’il entame une procédure de dissolution de notre mouvement. 

Les motifs sont évidemment fantaisistes, mais nous savons que pour nous, l’État de Droit n’existera pas. Nous n’avons pas le bonheur d’être des casseurs d’extrême gauche ou des djihadistes…

Je suis réinvitée chez Hanouna, cette fois pour débattre face à la porte-parole du gouvernement qui peinera à trouver des justifications à cette décision scandaleuse. 

L’audience montera cette fois jusqu’à 1.5 million de téléspectateurs.
Dans les jours qui suivent, je suis invitée partout pour débattre, autant chez Pascal Praud sur Cnews que face à Louis-Georges Tin (CRAN) ou bien encore sur Sud Radio.
Toute cette mobilisation va culminer avec une manifestation de soutien à Génération Identitaire le 20 février 2021 où j’interviendrai devant plusieurs milliers de nos sympathisants à Paris.
Mais le couperet finit par tomber le 3 mars 2021. Notre mouvement est officiellement dissous en Conseil des Ministres.
RENAISSANCE.
Et un jour, je me suis interrogée. Et si, plutôt que de joindre une structure existante, je décidais de créer mon propre univers, en dehors des structures établies ?

J’ai senti que c’est vers là que je devais aller. 

➡ Voici comment j'ai décidé de créer ma chaîne YouTube, avec un objectif en tête : désintoxiquer mentalement la droite des réflexes idéologiques de gauche. 

Nous devons renouer avec une pensée purement affirmative, où nous disons ce que nous pensons, en toute liberté et sans nous soucier de ce qu’en penseront nos adversaires. 

Ils se scandalisent ? TANT MIEUX ! C’est que nous touchons juste.
Le départ de ma chaîne est fulgurant. En quelques mois à peine, ma chaîne dépasse les 50 000 abonnés.
L’AVENIR.
Dorénavant, je veux m’investir à 100% dans ce projet. 

Mais je ne peux pas le faire sans vous et votre soutien.

Si comme moi, vous pensez que ce combat est essentiel pour la survie de notre civilisation, aidez-moi dans mon projet “Opération Courage & Fierté” afin d’atteindre mon objectif : réveiller plus d’un million de jeunes Français grâce à ma chaîne YouTube.

Faites-moi un don maintenant en cliquant sur l’onglet en haut à droite “Soutenir Thaïs”.

Quel que soit son montant, 500, 200, 100, 50 ou même 10 euros, il m’aidera à diffuser VOS idées auprès de NOTRE jeunesse sans que vous ayez à bouger de votre fauteuil.

D’avance, je vous remercie du fond du cœur.
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