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4 conseils pour tenir le coup en 2023

Thaïs d'Escufon
|
Mode de vie
|
13/2/2023

Vivre en dictature progressiste, c’est une guerre psychologique de tous les jours.

Les camés hyper-agressifs qui passent leurs journées à hurler dans les rues, le remplacement ininterrompu du peuple français par l’envahisseur, des trans qui lisent des histoires à des enfants…

Je n’ai aucun doute qu’à la fin, c’est nous qui gagnerons. Mais en attendant, c’est un effort de chaque instant pour ne pas devenir complètement dingue.

À force de tirer sur la corde, on finit par lâcher. C’est ce qui est arrivé à mon ami Louis.

Je l’ai connu pendant mes années de militantisme. Louis est un garçon cultivé, souriant quoi qu’il arrive et dont les imitations légendaires m’ont toujours fait hurler de rire. Mais il a un défaut : il prend les choses trop à cœur.

Quand Génération identitaire a été dissous, Louis s’est retrouvé isolé : plutôt que de passer ses soirées à parler avec d’autres militants, il restait chez lui, seul devant son écran d’ordinateur, absorbé par les articles et les prédictions apocalyptiques qu’il regardait défiler sur Twitter pendant des heures.

En quelques mois, il a été abandonné au désespoir, sans personne pour l’en sortir.

Jusqu’à la goutte d’eau qui a fait déborder le vase : l’affaire Lola. 

Quelques jours après cette histoire atroce, alors qu’il prend un verre avec sa promo à la terrasse d’un bar, une autre étudiante de sa table prend la parole : « Le pire dans cette histoire, c’est la récupération de l’extrême droite, c’est juste dégueulasse. »

Pour Louis, c’était le mot de trop : il entre dans une colère terrible, se lève et se met à hurler contre tous ceux qui se rendent complices du calvaire de Lola parce qu’ils refusent de regarder les choses en face. 

Il est impossible à calmer : la pression s’est accumulée pendant des mois. Et là, tout explose.

En 30 secondes, la scène se transforme en bagarre avec un autre étudiant, puis avec les videurs.

Résultat : Louis a passé une nuit dans une cellule glacée d’un commissariat de Paris avec un cocard et une lèvre fendue.

Heureusement dans cette histoire, personne n’a porté plainte et aujourd’hui, Louis s’est repris en main : il est retourné à la salle de sport et quand on se retrouve régulièrement autour d’un verre avec nos amis, il ne manque jamais de nous faire mourir de rire comme avant.

Mais ça aurait pu déraper de façon bien plus grave.

Ce qui est arrivé à Louis, ça pourrait arriver à n’importe qui. Pour moi, s’il a perdu ce n’est pas de sa faute : c’est tout simplement parce que personne ne lui a expliqué comment gérer toute cette pression qui nous écrase.

Et c’est justement ce qu’il faut faire, pour éviter que d’autres jeunes patriotes finissent comme Louis… ou pire.

Alors pour l’article d’aujourd’hui, j’ai décidé de vous partager les 4 habitudes simples et applicables dès aujourd’hui qui vous permettront de garder le moral tout en participant à faire la différence pour votre pays.

1. Sortez du tout-virtuel

J’adore Twitter : normal, c’est le réseau social le plus politique.

(D’ailleurs, vous pouvez dès maintenant suivre mon nouveau compte 🙂)

C’est aussi une bulle très précieuse. Elle nous fait du bien pour échapper au matraquage de France Inter, de l’Éducation nationale, de Netflix ou du gouvernement.

C’est un refuge. Mais très vite, la bulle devient un piège.

À force de n’être qu’en contact avec des patriotes conscientisés qui partagent nos analyses et nos solutions, on en vient à s’auto-intoxiquer : on croit que tout le monde est d’accord avec nous. 

“Macron n’en a plus pour longtemps, PatrioteRéfractaire #JambonBeurre 🇫🇷 est formel.”

Mais on oublie que Twitter, ce n’est pas la réalité des millions de Français.

À chaque nouvelle affaire Lola, devant la masse concentrée de mécontentement, on se dit : « La révolution est pour demain ! »

Et à chaque fois, on tombe de haut. Certes, il y a des effets, mais pas autant qu’on l’espère. C’est la fracture du moral garantie.

Il faut garder un pied dans le virtuel pour être au courant, mais il ne faut pas avoir Internet en intraveineuse : sinon, c’est le Grand 8 émotionnel pour toujours. Et personne ne peut supporter ça longtemps.

2. Éviter le burn-out politique

Que vous soyez sur Internet ou « dans la vraie vie », il est très facile de broyer du noir.

Si vous passez plus de 20 minutes par jour à lire des articles qui relatent des faits divers ultra-violents, vous faites partie de la population à risque pour un burn-out politique.

À force de consommer des vidéos d’agressions toute la journée, on finit par se détruire le moral.

Oui, il faut rester lucide et ne pas détourner les yeux des malheurs de l’époque. Il faut se tenir au courant, ne serait-ce que pour se rappeler pourquoi on a nos idées.

Mais n’allez pas faire une overdose non plus.

Cultivez un environnement positif : club de sport, activité artistique comme la peinture ou la musique, implication dans une association de quartier…

Bref, construisez et entretenez des sanctuaires qui vous permettent de vous ressourcer et de faire un break.

3. Marchez en forêt

Vous faites déjà vos 10 000 pas par jour ? La prochaine fois, essayez de les faire au grand air !

Selon une étude japonaise menée en 2007, la marche en forêt permet de réduire le niveau de sécrétion de la cortisol, l’hormone du stress, entre autres bienfaits.

Tout le contraire de la marche en ville !

Ce phénomène, les Japonais l’appellent « shinrin-yoku », c’est-à-dire « absorber l’atmosphère de la forêt » — si le mécanisme n’est pas encore compris, ses effets positifs sur la santé physique et psychique sont indiscutables.

Plus globalement, passez le maximum de temps à l’air pur : c’est bon pour la vitamine D, ça réduit les risques de dépression et en plus, une pratique sportive est plus régulière lorsqu’elle est effectuée en extérieur ! 

Si en plus ça permet d’éviter de voir la tête de Mélenchon sur des affiches ou d'entendre parler arabe, c’est un plus non négligeable…

4. Agissez politiquement (même à petite échelle)

Comme je le répète souvent, il est crucial de s’engager pour tout un tas de raisons. 

Je l’avais expliqué dans un article précédent : l’engagement, ce n’est pas seulement un devoir, c’est aussi un bénéfice au quotidien pour sa solidité psychologique.

C’est ce que j’appelle le paradoxe de l’engagement : ceux qui sont sur le terrain, au plus proche des problèmes comme l’insécurité, sont souvent ceux qui ont une attitude énergique, positive et optimiste.

La raison est simple : comme le veut l’adage, « l’oisiveté est mère de tous les vices ».

Au contraire, l’action, c’est l’antidote magique contre le sentiment d'impuissance. 

Donner une heure de son temps, pour partager une pétition, pour se former en lisant un livre d’histoire ou de politique ou pour coller des affiches, c’est bien plus positif que de rester à se morfondre sans rien faire.

Se bouger, c’est l’occasion de s’entourer de gens qui pensent comme vous : c’est non seulement une bouffée d’oxygène précieuse, mais c’est aussi le prélude à la formation de votre mafia !

(Si vous ne savez pas ce que j’entends par « mafia », allez lire mon article à ce sujet dès que vous avez fini celui-ci !)

La joie est une arme politique

La politique, ce n’est pas qu’une question d’idéologie, d’argent, d’effectifs ou d’organisation, loin de là.

Tous ces ingrédients sont cruciaux, mais il en manque un à la liste…

La joie !

Le malheur et la fatigue sont parmi les armes préférées du système pour écraser l’opposition — notre devoir politique à tous, c’est de refuser le diktat de la morosité.

En 2023, nous devons apprendre à combattre… avec le sourire aux lèvres !

Thaïs d'Escufon
Courage & Fierté

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